Konica Minolta commercialise sa première offre RPA en France

Cette nouvelle offre s’appuie sur un partenariat technologique fort, au niveau européen, avec le leader de la RPA : UiPath. L’accompagnement des experts IT de L’offre RPA de Konica Minolta permet aux entreprises, quel que soit leur secteur d’activités : de détecter les processus métiers éligibles à l’automatisation, de tester la RPA et de mettre en œuvre la solution RPA.

Décharger les collaborateurs des tâches fastidieuses et répétitives

Moins de la moitié d'une journée de travail (43%*) est réellement consacrée à l'exécution de tâches à forte valeur ajoutée et relevant de la responsabilité du collaborateur. Au quotidien, les collaborateurs exécutent majoritairement des tâches qui ne relèvent pas de leurs compétences.

La technologie RPA (Robotic Process Automation) est justement conçue pour prendre en charge des tâches routinières, exécutées notamment par la DAF, la DRH ou encore la DSI (voir encadré à la fin). Concrètement, une application RPA est programmée pour enregistrer ce que fait un utilisateur et ensuite répliquer automatiquement les actions à exécuter. Par exemple, un robot peut récupérer automatiquement des factures sur le portail web des fournisseurs, gérer les différentes étapes du processus d’onboarding lors de l’arrivée d’un nouveau collaborateur ou encore les droits d’accès des collaborateurs au Système d’Information (SI).

La clé de la réussite d’un projet de RPA est de se concentrer sur les tâches les plus chronophages, les moins valorisantes et le plus facilement automatisables

Remplacer les interfaces couteuses ou difficilement déployables dans un SI existant

L’automatisation robotisée des processus pallie aussi les difficultés d’intégration de nouvelles solutions dans un SI existant ; une intégration qui peut s’avérer couteuse, voire dans certains cas techniquement impossible sans avoir recours à cette technologie.

« La RPA permet, en effet, d’agréger des opérations entre elles – voire de pallier des opérations manuelles – sans avoir à développer des API ou des bases de données intermédiaires, toujours complexes et onéreuses à maintenir », ajoute Ruggero Pizzo.